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DES EXOPLANÈTES ET NAINES BRUNES PASSÉES À LA LOUPE DES MICROLENTILLES GRAVITATIONNELLES
Date de création :
01.12.2015Auteur(s) :
Arnaud CASSANPrésentation
Informations pratiques
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Description de la ressource
Résumé
Quand en 1995 fut découverte la première exoplanète autour de l'étoile 51 Peg, la surprise fut grande : cette planète ne ressemblait à rien de connu dans notre système solaire. Aujourd'hui, force est de constater que rares sont les systèmes extra-solaires qui y ressemblent ! La diversité exo-planétaire s'est avérée extraordinairement riche. Plusieurs méthodes de détection permettent maintenant d'explorer ces divers systèmes. Par chance, elles se complètent admirablement bien pour mettre au jour des exoplanètes couvrant une vaste plage de masses et de distances orbitales. Dans un article fameux publié en 1936, Albert Einstein posait les bases de ce qui s'appelle l'effet de microlentille gravitationnelle, et qui est aujourd'hui mis en pratique pour détecter des exoplanètes à très grande distance de la Terre. Je parlerai plus particulièrement de cette méthode, en la faisant dialoguer avec d'autres techniques pour aborder des problèmes qui restent encore entourés d'un voile de mystère : des planètes qui n'existent pas dans le système solaire, un lien très ambigu entre les planètes géantes et les naines brunes, la découvertes de planètes flottantes, l'origine des Jupiter chauds, l'estimation du nombre d'exoplanètes dans la galaxie, et quelques réflexions sur l'habitabilité de certains de ces mondes lointains.
"Domaine(s)" et indice(s) Dewey
- Médias documentaires, éducatifs, d'information, journalisme, édition (070)
Domaine(s)
- 070
Intervenants, édition et diffusion
Intervenants
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- LOMv1.0
- LOMFRv1.0
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