cours / présentation

L’écotourisme dans la réserve : histoire et dynamisme de l'association de « La Flor »

La fréquentation désordonnée de la <em>zona del silencio, zone du silence, des années 1970 a progressivement laissé place à l’organisation d’un tourisme culturel, rural et environnementale, accompagné et respectueux de l’environnement. Ce nouveau tourisme, témoignant d’un fort attachement ...

Date de création :

04.06.2018

Présentation

Informations pratiques

Langue du document : Espagnol, Français
Type : cours / présentation
Niveau : enseignement supérieur
Durée d'exécution : 15 minutes 42 secondes
Contenu : vidéo
Document : video/mp4
Poids : 87.04 Mo
Droits d'auteur : libre de droits, gratuit
Droits réservés à l'éditeur et aux auteurs. Licence Creative Commons : Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Partage Des Conditions Initiales A l'Identique 2.0

Description de la ressource

Résumé

La fréquentation désordonnée de la <em>zona del silencio, zone du silence, des années 1970 a progressivement laissé place à l’organisation d’un tourisme culturel, rural et environnementale, accompagné et respectueux de l’environnement. Ce nouveau tourisme, témoignant d’un fort attachement au lieu, s’appuie sur la mise valeur la richesse naturelle, culturelle et historique du bolsón comme l’héritage archéologique, la quiétude, voir la spiritualité générée par l’atmosphère du désert et attire des touristes autant mexicains qu’étrangers. Il conduit sur les traces des premiers habitants ou des anciennes activités minières et de l’artisanat indigène mais aussi à la découverte des pratiques agricoles traditionnelles dans le bolsón. Le « paquete education ambiental de medio rural » par exemple offre la possibilité de fabriquer du fromage, de découvrir les pratiques traditionnelles d’élevage ou réaliser des attrapes-rêves. Cette démarche a été soutenue par la CONANP entre autres via l’aide à la mise en place d’un petit écomusée à la For ou la construction de toilettes sèches. Toutefois la RBM reste moins reconnue que la zona del silencio qui demeure le principal attrait du site.

"Domaine(s)" et indice(s) Dewey

  • Environnement (363.7)

Domaine(s)

  • Économie sociale
  • Problèmes d'environnement
  • Environnement

Document(s) annexe(s)

Fiche technique

Identifiant de la fiche : 45871
Identifiant OAI-PMH : oai:canal-u.fr:45871
Schéma de la métadonnée : oai:uved:Cemagref-Marine-Protected-Areas
Entrepôt d'origine : Canal-U

Voir aussi

Canal-U
Canal-U
04.06.2018
Description : La Zone du Silence ou Zona del Silencio, zone située au centre de la réserve de biosphère de Mapimí, constitue probablement le facteur déclencheur de la mise en réserve de cette partie du Bolsón de Mapimí. Identifiée comme le siège d’activités paranormales au cours des années ...
  • réserve de biosphère
  • écotourisme
  • dégradation environnementale
UVED
UVED
18.10.2018
Description :

L’intégration des communautés aux prises de décision et aux actions est un point emblématique des réserves de biosphère. La participation dans le cas de Mapimí s’initie par la présence de la population aux assemblées du Consejo Asesor et de la CONANP aux réunions des 11 ejidos de la réserve, ce qui permet des échanges avec les usagers des ressources comme les éleveurs.

La situation géographique – à cheval sur 3 états - et la taille de la réserve - avoisinant 340 000 ha - constituent néanmoins une difficulté dans la mise en œuvre de la participation : si le Consejo Asesor compte 50 % des habitants et des propriétaires, le processus participatif n’est pas efficace en tout point de la réserve et certaines communautés éloignées ou plus réticentes à l’outil restent moins intégrées même si la situation évolue sous les initiatives des 6 membres de la CONANP locale. La participation apparait ainsi essentielle au maintien de la principale activité, l’élevage bovin, ainsi les principales actions rencontrant une bonne adhésion portent sur la lutte antiérosive via la construction de murets permettant le ralentissement des eaux de ruissellement ou la re-végétalisation par des fossés diguettes ensemencés de graines natives. La contribution des habitants aux diagnostics et initiatives de restauration est de fait vectrice d’une meilleure acceptation et construction commune des stratégies de gestion. Les évaluations des actions sur les sols, sur la couverture et la diversité des pâturages, sur la tortue et l’aigle, espèces emblématique de la réserve, constituent des mesures clés pour le programme de gestion, son acceptation, sa diffusion et sa reconduction. Le programme sur la culture, axe considéré comme transversal, demeure un point important dans l’appropriation du processus et le changement des comportements, en particulier pour la tortue… de conclure sur les bonnes réponses de la communauté et l’importance de la participation pour le bon développement de projet de développement

  • réserve de biosphère